TU DEVRAIS VENIR PLUS SOUVENT
de Philippe Minyana

ACTUEL

AGENDA

PRESSE

PHOTOS




TU DEVRAIS VENIR PLUS SOUVENT (2007), L'Arche Editeur


Prochaines dates

Du 14 au 19 mars 2017 au Théâtre 2.21 à Lausanne

Le 24 mars 2017 à l'Espace culturel du Café du Soleil

Les 13 et 14 juillet 2017 au Festival Poésie en arrosoir à Cernier

Coproducteurs

Centre de Culture et de Loisirs (CCL) à St-Imier, Centre neuchâtelois des arts vivants, Théâtre Populaire Romand (TPR) à La Chaux-de-Fonds.

Soutiens à la création

Canton Berne – Swisslos, République et Canton du Jura, Ville de Bienne, Ville de Moutier, Fondation Ernst Göhner, Fondation Vinetum, Pour-cent culturel Migros Aar, Fondation suisse des artistes et interprètes.

Soutiens à la tournée

Canton Berne – Swisslos, Ville de Lausanne, CORODIS.

Partenaires


Spectacles Français à Bienne, Théâtre 2.21 à Lausanne, Centre d'art scénique contemporain Arsenic à Lausanne, Festival transfrontalier contes & compagnies, Centre culturel de la Prévôté (CCP) à Moutier.




Photo: Guy Perrenoud

TU DEVRAIS VENIR PLUS SOUVENT est le récit d'une visite dans la famille en région rurale. Le retour est désiré et plein d'espoir mais mâtiné d'appréhension. Il y a de la tendresse pour tous les personnages du cru évoqués - une tante, son chien, une cousine, Madame Nollet, un voisin, les Roth, un ancien couple d'amis, la mère, etc., mais le choc des retrouvailles, la force des non-dits et la vacuité de certains échanges, creusent le sentiment de déracinement et mettent en lumière un besoin d'appartenance et de réconciliation.

Le voyage du retour commence comme un road-trip poétique où les paysages et la nature se déroulent et s'étirent, immuables et rassurants. Puis il y a les retrouvailles et le défilé de la parentèle et des connaissances, rythmé par des anecdotes et des repas sans fin. Enfin le récit s'accélère jusqu'à la saturation qui se résout par le départ. Mais la visite n'a pas été vaine, la mère a laissé une lettre.

Un trio de comédiens-ennes prend en charge une parole puisée dans l'oralité et transformée par l'auteur en partition rythmique composée de silences, de juxtapositions de pensées répétitives construites comme des ritournelles, d'empilements de répliques, d'accélérations et de décélérations. Minyana cisèle le langage oral, poétise le quotidien et offre un récit sensible et drôle, universel.


Distribution

Mise en scène : Alain Borek, Pascale Güdel
Avec : Sandro De Feo, Pascale Güdel, Anna Pieri
Direction musicale et son : Jonas Kocher
Scénographie : Valère Girardin
Lumière : Jérôme Bueche


L'auteur

Philippe Minyana (Besançon, 1946) débute dans le théâtre comme comédien, avant de signer sa première pièce en 1979. Aujourd'hui, il en compte une quarantaine à son actif, dont La maison des morts, Inventaires, Chambres, Une femme. S'ajoutent à celles-ci des œuvres radiophoniques et des livrets d'opéra. En 2010, le Prix du théâtre de l'Académie française le couronne. Ses textes, publiés par des grandes maisons d'édition, sont traduits et joués dans le monde.





Graphisme: Lara Greub
Photo: Sebastian Geret